Dossier de presse
« Que reste-t-il des lieux, des êtres, des sensations lorsque l’œil se ferme et que le temps patiemment et en silence œuvre par la mémoire ? Comment peut-on retrouver l’émotion première désencombrée de tout artifice et partir vers une peinture du monde à la fois incarnée et métaphysique ?
Tout acte de création est une interrogation du monde.
Mon travail ne cherche pas à figurer le monde pour l’interroger; il le transfigure pour en explorer et révéler sa part non visible. Ce que je cherche c’est saisir ma relation au monde et l’empreinte qu’il dépose en moi.
Chaque peinture contient ses fragments du monde, par le truchement des architectures, des rythmes, des textures ou des couleurs. C’est tout cela ensemble qui me permet de transcrire mes géographies enfouies, les musiques intérieures, la mémoire intime et les marques du temps. »
Michel Remaud, 12 février 2013
Tout acte de création est une interrogation du monde.
Mon travail ne cherche pas à figurer le monde pour l’interroger; il le transfigure pour en explorer et révéler sa part non visible. Ce que je cherche c’est saisir ma relation au monde et l’empreinte qu’il dépose en moi.
Chaque peinture contient ses fragments du monde, par le truchement des architectures, des rythmes, des textures ou des couleurs. C’est tout cela ensemble qui me permet de transcrire mes géographies enfouies, les musiques intérieures, la mémoire intime et les marques du temps. »
Michel Remaud, 12 février 2013
7, rue Alain Berthou 29340
tel : 02 98 06 58 46
Riec sur Bélon
un vent de tous les diables
